L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
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L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
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Paris, 5 février 2009 – L’escadre
de l’Otan dépêchée en renfort de l’Egypte pour lutter contre
le trafic des armes au large de Gaza, de même que
l’activisme diplomatique tardif déployé par le Caire avec
l’hébergement des pourparlers inter palestiniens et la
conférence des pays donateurs pour la reconstruction
de l’enclave palestinienne détruite par Israël, ne modifieront
en rien la cruauté du constat: Misr Oum ad Dounia, l’Egypte,
Mère du Monde,
l’Egypte, dont l’histoire s’est longtemps confondue avec
l’épopée, n’est plus que l’ombre d’elle-même, un pays qui
a intériorisé sa défaite, voué au rôle peu glorieux de sous
traitant de la diplomatie américaine sur le plan régional,
de factotum des impératifs de sécurité d’Israël, le ventre
mou du Monde arabe, son grand corps malade.
Le plus grand et le plus peuplé pays du monde arabe
avec 80 millions d’habitants, est au bord de l’implosion
sociale avec 34 % d’Egyptiens vivant en dessous du seuil
de pauvreté, avec moins de deux dollars par jour.
Depuis le revirement proaméricain du président
Anouar el Sadate, en 1978, et son traité de paix avec
Israël, il y a trente ans, l’Egypte fonctionnait sur un mode
binôme, par une répartition des tâches entre le pouvoir
politique géré par la bureaucratie militaire, alors que la
gestion culturelle de la sphère civile était confiée au
zèle de l’organisation des Frères Musulmans,
dont le prosélytisme s’est matérialisé par le rétablissement
du crime d’apostasie. Sous la menace islamiste,
l’Egypte navigue ainsi entre corruption, régression
économique et répression, avec 1,3 million de
flics employés par le ministère de l’Intérieur et plusieurs
milliers de prisonniers politiques.
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à
l’activisme des pays latino-américains, le Venezuela et la
Bolivie qui ont expulsé l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz,
a suscité une levée de boucliers des Frères Musulmans
conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec
l’ancien vice-président syrien Abdel Halim Khaddam,
le transfuge baasiste réfugié à Paris. Par un invraisemblable
renversement d’alliance qui témoigne du strabisme stratégique
de l’Egypte, c’est la Syrie, son ancien partenaire arabe
dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
Le plus grand et le plus peuplé pays du monde arabe
avec 80 millions d’habitants, est au bord de l’implosion sociale avec
34 % d’Egyptiens vivant en dessous du seuil de pauvreté, avec moins de
deux dollars par jour. Depuis le revirement proaméricain du président
Anouar el Sadate, en 1978, et son traité de paix avec Israël, il y a
trente ans, l’Egypte fonctionnait sur un mode binôme, par une
répartition des tâches entre le pouvoir politique géré par la
bureaucratie militaire, alors que la gestion culturelle de la sphère
civile était confiée au zèle de l’organisation des Frères Musulmans,
dont le prosélytisme s’est matérialisé par le rétablissement du crime
d’apostasie. Sous la menace islamiste, l’Egypte navigue ainsi entre
corruption, régression économique et répression, avec 1,3 million de
flics employés par le ministère de l’Intérieur et plusieurs milliers de
prisonniers politiques.
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à l’activisme des pays
latino-américains, le Venezuela et la Bolivie qui ont expulsé
l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz, a suscité une levée de
boucliers des Frères Musulmans conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec l’ancien
vice-président syrien Abdel Halim Khaddam, le transfuge baasiste
réfugié à Paris. Par un invraisemblable renversement d’alliance qui
témoigne du strabisme stratégique de l’Egypte, c’est la Syrie, son
ancien partenaire arabe dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
Le plus grand et le plus peuplé pays du monde arabe
avec 80 millions d’habitants, est au bord de l’implosion sociale avec
34 % d’Egyptiens vivant en dessous du seuil de pauvreté, avec moins de
deux dollars par jour. Depuis le revirement proaméricain du président
Anouar el Sadate, en 1978, et son traité de paix avec Israël, il y a
trente ans, l’Egypte fonctionnait sur un mode binôme, par une
répartition des tâches entre le pouvoir politique géré par la
bureaucratie militaire, alors que la gestion culturelle de la sphère
civile était confiée au zèle de l’organisation des Frères Musulmans,
dont le prosélytisme s’est matérialisé par le rétablissement du crime
d’apostasie. Sous la menace islamiste, l’Egypte navigue ainsi entre
corruption, régression économique et répression, avec 1,3 million de
flics employés par le ministère de l’Intérieur et plusieurs milliers de
prisonniers politiques.
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à l’activisme des pays
latino-américains, le Venezuela et la Bolivie qui ont expulsé
l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz, a suscité une levée de
boucliers des Frères Musulmans conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec l’ancien
vice-président syrien Abdel Halim Khaddam, le transfuge baasiste
réfugié à Paris. Par un invraisemblable renversement d’alliance qui
témoigne du strabisme stratégique de l’Egypte, c’est la Syrie, son
ancien partenaire arabe dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
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Paris, 5 février 2009 – L’escadre
de l’Otan dépêchée en renfort de l’Egypte pour lutter contre
le trafic des armes au large de Gaza, de même que
l’activisme diplomatique tardif déployé par le Caire avec
l’hébergement des pourparlers inter palestiniens et la
conférence des pays donateurs pour la reconstruction
de l’enclave palestinienne détruite par Israël, ne modifieront
en rien la cruauté du constat: Misr Oum ad Dounia, l’Egypte,
Mère du Monde,
l’Egypte, dont l’histoire s’est longtemps confondue avec
l’épopée, n’est plus que l’ombre d’elle-même, un pays qui
a intériorisé sa défaite, voué au rôle peu glorieux de sous
traitant de la diplomatie américaine sur le plan régional,
de factotum des impératifs de sécurité d’Israël, le ventre
mou du Monde arabe, son grand corps malade.
Le plus grand et le plus peuplé pays du monde arabe
avec 80 millions d’habitants, est au bord de l’implosion
sociale avec 34 % d’Egyptiens vivant en dessous du seuil
de pauvreté, avec moins de deux dollars par jour.
Depuis le revirement proaméricain du président
Anouar el Sadate, en 1978, et son traité de paix avec
Israël, il y a trente ans, l’Egypte fonctionnait sur un mode
binôme, par une répartition des tâches entre le pouvoir
politique géré par la bureaucratie militaire, alors que la
gestion culturelle de la sphère civile était confiée au
zèle de l’organisation des Frères Musulmans,
dont le prosélytisme s’est matérialisé par le rétablissement
du crime d’apostasie. Sous la menace islamiste,
l’Egypte navigue ainsi entre corruption, régression
économique et répression, avec 1,3 million de
flics employés par le ministère de l’Intérieur et plusieurs
milliers de prisonniers politiques.
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à
l’activisme des pays latino-américains, le Venezuela et la
Bolivie qui ont expulsé l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz,
a suscité une levée de boucliers des Frères Musulmans
conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec
l’ancien vice-président syrien Abdel Halim Khaddam,
le transfuge baasiste réfugié à Paris. Par un invraisemblable
renversement d’alliance qui témoigne du strabisme stratégique
de l’Egypte, c’est la Syrie, son ancien partenaire arabe
dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
Le plus grand et le plus peuplé pays du monde arabe
avec 80 millions d’habitants, est au bord de l’implosion sociale avec
34 % d’Egyptiens vivant en dessous du seuil de pauvreté, avec moins de
deux dollars par jour. Depuis le revirement proaméricain du président
Anouar el Sadate, en 1978, et son traité de paix avec Israël, il y a
trente ans, l’Egypte fonctionnait sur un mode binôme, par une
répartition des tâches entre le pouvoir politique géré par la
bureaucratie militaire, alors que la gestion culturelle de la sphère
civile était confiée au zèle de l’organisation des Frères Musulmans,
dont le prosélytisme s’est matérialisé par le rétablissement du crime
d’apostasie. Sous la menace islamiste, l’Egypte navigue ainsi entre
corruption, régression économique et répression, avec 1,3 million de
flics employés par le ministère de l’Intérieur et plusieurs milliers de
prisonniers politiques.
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à l’activisme des pays
latino-américains, le Venezuela et la Bolivie qui ont expulsé
l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz, a suscité une levée de
boucliers des Frères Musulmans conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec l’ancien
vice-président syrien Abdel Halim Khaddam, le transfuge baasiste
réfugié à Paris. Par un invraisemblable renversement d’alliance qui
témoigne du strabisme stratégique de l’Egypte, c’est la Syrie, son
ancien partenaire arabe dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
Le plus grand et le plus peuplé pays du monde arabe
avec 80 millions d’habitants, est au bord de l’implosion sociale avec
34 % d’Egyptiens vivant en dessous du seuil de pauvreté, avec moins de
deux dollars par jour. Depuis le revirement proaméricain du président
Anouar el Sadate, en 1978, et son traité de paix avec Israël, il y a
trente ans, l’Egypte fonctionnait sur un mode binôme, par une
répartition des tâches entre le pouvoir politique géré par la
bureaucratie militaire, alors que la gestion culturelle de la sphère
civile était confiée au zèle de l’organisation des Frères Musulmans,
dont le prosélytisme s’est matérialisé par le rétablissement du crime
d’apostasie. Sous la menace islamiste, l’Egypte navigue ainsi entre
corruption, régression économique et répression, avec 1,3 million de
flics employés par le ministère de l’Intérieur et plusieurs milliers de
prisonniers politiques.
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à l’activisme des pays
latino-américains, le Venezuela et la Bolivie qui ont expulsé
l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz, a suscité une levée de
boucliers des Frères Musulmans conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec l’ancien
vice-président syrien Abdel Halim Khaddam, le transfuge baasiste
réfugié à Paris. Par un invraisemblable renversement d’alliance qui
témoigne du strabisme stratégique de l’Egypte, c’est la Syrie, son
ancien partenaire arabe dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
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hayfa-
- عدد المساهمات : 5238
نقاط تحت التجربة : 16000
تاريخ التسجيل : 29/04/2007
رد: L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
فرحه اكبيره في عيون امبارك
ليش هكه
المواجع
ليش هكه
المواجع
lambadouza-
- عدد المساهمات : 2653
العمر : 49
الهوايه : TOUT CE QUI AJOUTE DU BIEN A MA PERSONNALITE
نقاط تحت التجربة : 15828
تاريخ التسجيل : 15/03/2007
رد: L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
Hosni Mobarak est un traitre ,un infidèle, une personne
déloyale qui a commis de graves délits impardonnables
constituant un manquement grave à un engagement
envers la dignité du monde arabe même les musulmans
je le déteste
je le déteste
... je le déteste
déloyale qui a commis de graves délits impardonnables
constituant un manquement grave à un engagement
envers la dignité du monde arabe même les musulmans
je le déteste
je le déteste
... je le déteste
Sweet EviL-
- عدد المساهمات : 1808
العمر : 38
المكان : Paris
المهنه : Ingénieur en micro et nano électronique
نقاط تحت التجربة : 13159
تاريخ التسجيل : 11/08/2007
رد: L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
La passivité égyptienne devant le bain de sang
israélien à Gaza, sa léthargie diplomatique face à l’activisme des pays
latino-américains, le Venezuela et la Bolivie qui ont expulsé
l’ambassadeur israélien à Caracas et La Paz, a suscité une levée de
boucliers des Frères Musulmans conduisant la confrérie à cesser toute
opposition à la Syrie, rendant caduque sa collaboration avec l’ancien
vice-président syrien Abdel Halim Khaddam, le transfuge baasiste
réfugié à Paris. Par un invraisemblable renversement d’alliance qui
témoigne du strabisme stratégique de l’Egypte, c’est la Syrie, son
ancien partenaire arabe dans la guerre d’indépendance, et non Israël,
qui constitue désormais sa bête noire.
chére haifa
veuillez rectifier
le paraph sus indiqué a éte reproduit par erreur
Merçiiii
رد: L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
piratos كتب:chére haifaLa passivité égyptienne devant le bain de sang
.
veuillez rectifier
le paraph sus indiqué a éte reproduit par erreur
Merçiiii
Merci Piratos pour ton passage
mais
comment trouves tu que c'est reproduit par erreur
?????
c'est la suite de la même logique
-*-
1
La Bolivie Le Venezuela se sont donnés un rôle
dans la Région 3lakhater dhour bel kachef
que la région ma 3indhech emmali
et j'ajouterai aussi la Turquie et l'Iran
2
La gestion catastrophique de la crise de Gaza
par le rais et le rangement de la Syrie dans le camps de la Moumana3a
a fait que les frères musulmans de Syrie se démarquent
de l'opposant Abdelhalim KHaddam
et gèlent leur opposition au pouvoir à Damas
devenue l'ennemi N°1 pour la rais plutôt que Tel-aviv
alors que les même frères musulmans en Égypte
font la dragée haute au pouvoir de Moubarak
3
L'article est en fait beaucoup plus long
je ne pouvais pas le reproduire entièrement
j'ai du mettre juste des extraits
mais
comment trouves tu que c'est reproduit par erreur
?????
c'est la suite de la même logique
-*-
1
La Bolivie Le Venezuela se sont donnés un rôle
dans la Région 3lakhater dhour bel kachef
que la région ma 3indhech emmali
et j'ajouterai aussi la Turquie et l'Iran
2
La gestion catastrophique de la crise de Gaza
par le rais et le rangement de la Syrie dans le camps de la Moumana3a
a fait que les frères musulmans de Syrie se démarquent
de l'opposant Abdelhalim KHaddam
et gèlent leur opposition au pouvoir à Damas
devenue l'ennemi N°1 pour la rais plutôt que Tel-aviv
alors que les même frères musulmans en Égypte
font la dragée haute au pouvoir de Moubarak
3
L'article est en fait beaucoup plus long
je ne pouvais pas le reproduire entièrement
j'ai du mettre juste des extraits
hayfa-
- عدد المساهمات : 5238
نقاط تحت التجربة : 16000
تاريخ التسجيل : 29/04/2007
رد: L'Egypte "oum edounya" n’est plus que l’ombre d’elle-même
Histoire boulversée
Egypte NACEUR pas Egypte Saadat ni Egypte Moubarek
c'est maleureux mais c'est comme ça
faut se liberer
Egypte NACEUR pas Egypte Saadat ni Egypte Moubarek
c'est maleureux mais c'est comme ça
faut se liberer
cheguivara-
- عدد المساهمات : 2
العمر : 71
نقاط تحت التجربة : 11488
تاريخ التسجيل : 14/02/2009
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